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4 février 2020 2 04 /02 /février /2020 19:57

Une des lectrices des 32 joyaux demande si je pouvais en dire davantage sur la méthode des trois oui et des trois non, et si j'avais des exemples concrets. Voici ma réponse !

Bien sûr, je développerai les explications dans le tome 4 sur le dialogue (dont la moitié est déjà écrite), et je n'ai pas d'exemple en tête avec une personne pour l'instant (la finalisation du tome 2 me demande beaucoup d'énergie).
Mais voici de quoi répondre sans attendre la sortie des autres tomes de la collection "noématique".

Dans la méthode des trois oui et des trois non, il s'agit de mettre en avant que la technique la personne a utilisée jusqu'à présent pouvait fonctionner mais n'est plus adaptée.
 
La vie nous dit NON, pas ici, pas maintenant, pas comme ça, et du coup il faut trouver (au moins) un OUI parmi les trois oui : ailleurs, plus tard, d'une autre façon.
La vie nous avait dit OUI : nous avions trouvé une façon de faire, un endroit, un moment. Mais ça ne marche plus. Ce n'est pas l'intelligence de la personne qui est en cause, c'est juste un manque d'informations. Notamment que la vie est le grand festival de la nouveauté !
 
Il faut donc souligner chaque fois que possible l'intelligence dont la personne a fait preuve.
Oui, c'était une bonne idée de faire ça à tel endroit. Mais tu crois que ça marche partout ?
Oui, c'était une bonne idée de faire ça à tel moment. Mais tu crois que ça marche tout le temps ?
Oui, c'était une bonne idée de faire ça comme ça. Mais tu crois que c'est une façon universelle ?
On part donc de ce qui existe, une présence (chercher l'erreur c'est chercher ce qui n'existe pas, une absence).
Comme on a mis en avant l'intelligence de la personne à avoir trouvé quelque chose de valide, mais qui ne l'est plus, on l'encourage ainsi implicitement à trouver les moyens de trouver une nouvelle chose valide.
 
Puisque vous avez suivi de nombreux stages, vous devez être familière avec la pensée de La Garanderie. Alors je poursuis avec son vocabulaire.
Il est important de faire recontacter l'espoir à chaque rencontre. Dans la culture occidentale, l'espoir ou l'espérance est une vertu théologale, c'est-à-dire qui donne une information sur Dieu, ou si ce terme vous dérange, prenons une autre explication, sur l'être humain parfait, abouti, pleinement conscient, pleinement heureux.
La Garanderie m'avait invité à creuser du côté des vertus théologales, ce que j'ai fait de façon féconde. Il a abordé ce sujet aussi dans ses derniers ouvrages.
La vie nous dit parfois non. Il est important de savoir que ce non, à moins d'être à l'article de la mort, n'est jamais ferme et définitif. Il y a toujours les trois oui. Cela permet de chercher et d'éviter que l'espérance ne dégénère en procrastination. Les trois oui correspondent aux trois infinis de La Garanderie. Ces trois infinis que nous offre la vie.
Car tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir !
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18 décembre 2019 3 18 /12 /décembre /2019 09:53

Bonjour à tous,

Un nouveau livre de gestion mentale et au-delà sort cette semaine.
Il est déjà disponible sur Amazon :
https://amzn.to/38ObXBm
Alors bonne lecture ;-)
F.R.
 

Tous les enfants, petits, ont une soif d’apprendre, une joie de connaître, une curiosité qui brille au fond des yeux. Et cela s’estompe avec le temps. Pourquoi ? Il y a les explications connues, et il y a les autres.Après trente années de recherche, l’auteur découvre une raison insoupçonnée : la pensée est constituée de 32 éléments de base. Les 32 joyaux de la pensée. Chacun de ces éléments apporte une façon unique de voir le monde. Chacun brille comme la facette d’un diamant et résonne comme les rires d’un enfant. Les hasards de l’existence nous font perdre contact avec certains d’entre eux : nous perdons alors pied dans la mer à boire de l’école où se terre l’erreur aux mille visages. Et ce n'est que le début de l'errance.

Connaître, reconnaître, recontacter ces 32 éléments, c’est au contraire renouer peu à peu avec cette joie intérieure de savoir, et restaurer la mobilité mentale.Cent personnes témoignent dans ce livre de cette rencontre avec le sens. Depuis 1990, l’auteur accompagne des milliers de personnes de tout âge, enfants et adultes, à le faire avec succès. Une pensée vive et un cœur léger, voilà les résultats qu’il observe et veut aujourd’hui partager avec vous.

Ce livre s’adresse aux parents, aux enseignants, aux curieux, à tous ceux qui veulent connaître les rouages de leur intelligence ou qui sont simplement soucieuses du bien-être personnel. Il est l’aboutissement d’une recherche originale, menée loin des sentiers battus dans les domaines inexplorées des sciences cognitives sur une période de trente ans. Il éclaire d’un autre jour les troubles « dys » comme la dyslexie, la dyscalculie, le TDA, le TDAH, la dysgraphie mais aussi la précocité, l’intelligence ou la mémoire.Chaque élément de base est comme la lettre d’un alphabet. Leur connaissance ouvre de nouvelles perspectives dans des domaines aussi variées que la pédagogie, le développement personnel ou l’intelligence artificielle.

L’auteur, enseignant-chercheur en sciences cognitives à Bordeaux, formula l’hypothèse d’un noyau commun à tous les domaines – sportif, scientifique, littéraire, technique ou professionnel. Son travail de recherche l’a emmené à étudier et enseigner différentes disciplines. Sa conclusion : il existe 32 besoins cognitifs fondamentaux, les connaître libère le potentiel de chaque individu. Découvrez ces ressources cachées en vous et votre enfant.

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2 septembre 2019 1 02 /09 /septembre /2019 09:30

« Mon enfant ne lit pas ! », « Elle manque de vocabulaire »
J'entends parfois ces remarques des parents, et quelquefois des jeunes eux-mêmes.
Alors comment faire quand on ne lit pas, ou peu, ou pas « sérieusement », pour augmenter son vocabulaire ???

Eh bien il existe d'autres solutions ! Oui, des exercices de vocabulaire ! Et ça marche. Des centaines de mes élèves l'ont essayé avec succès. Ils ont aimé les diverses présentations, les exercices variés avec les façons originales, les illustrations. Alors n'hésitez plus !

Ah oui, je sens la remarque venir : c'est écrit pour la 4e et 3e. Certes. Mais si votre enfant est au lycée, il aura besoin du vocabulaire de base (et de vous à moi, la première fois que j'ai ouvert ce livre, je ne connaissais pas tous les mots... pour dire la richesse de cet ouvrage). Et s'il est avant la 4e, il y a de quoi faire facilement dès le CM2.

Le vocabulaire présenté est essentiel pour comprendre et expliquer un texte, au collège... et aussi pour le bac français. À moins de 11 euros, vous avez dit indispensable ?...
800 mots pour réussir, de Claude Lebrun et Geneviève Poumarède, aux éditions Belin.

 

 

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29 mars 2019 5 29 /03 /mars /2019 10:00

Le protocole de séparation dans l'espace est le plus puissant protocole de gestion mentale que je connaisse (et vu que je fais de la gestion mentale depuis 1983...). Il est simple et efficace. Il suffit tout simplement de mettre l'énoncé à un endroit et de faire à un autre endroit. Ainsi, la source d'information et la production sont séparées dans l'espace. On a le droit de se déplacer librement entre les deux : chacun fait autant d'allers-retours qu'il le souhaite.

Il est efficace car il permet à celui qui l'applique d'intégrer les données à son rythme, d'évoquer comme il le souhaite, et d'allier l'activité du corps à celle de la pensée.

Alors pourquoi, s'il est simple et efficace, n'est-il pas plus diffusé ?

Justement parce qu'il est simple et efficace. Sans doute les « praticiens » en « gestion mentale », conseillers jeunes, coachs et autres orthopédagogues craignent-ils pour leur clientèle. À tort. La souffrance scolaire est immense : nous pouvons montrer et diffuser les protocoles les plus puissants, il restera encore beaucoup à faire, chacun à son niveau.

De nombreux formateurs en gestion mentale connaissent ce protocole, car ils furent à un moment ou à un autre mes élèves, même s’ils « oublient » de le mentionner.

Alors pourquoi ne pas diffuser davantage ce qui est simple et efficace ?...

Je reviendrai sur ce protocole en donnant des exemples d'applications à la maison, en cabinet ou en classe.

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25 mars 2019 1 25 /03 /mars /2019 10:00

Épisode n°1

William, élève de sixième de 11 ans, vient me voir avec sa maman car il a toujours des idées mais pas pour être attentif en cours.

Toujours souriant et désireux de bien faire, il aimerait bien disposer d’une meilleure concentration.

 

Nous explorons donc ensemble directement le geste d'attention avec le protocole de séparation dans l'espace avec une entrée « niveau objet » avec un « Rubik's snake » et une sortie en « mode d’expression plastique » avec un autre « Rubik’s snake ». Cela lui plaît beaucoup, lui qui aime bien bricoler. Il surmonte les difficultés et atteint les objectifs fixés.

Puis, nous passons au « niveau schéma » avec la figure de Rava (figure que j’ai inventé pour explorer divers aspects de l’attention), et une sortie en « mode d’expression graphique ». C’est plus dur que de manipuler les objets, mais William y arrive. Il passe notamment par un appui corporel, représenté dans le jeu du Smysl par un masque vert. (Le jeu du Smysl reprend sous formes de cartes colorées les 32 éléments de base de la pensée, véritable alphabet cognitif.)


En dialogue pédagogique, il a du mal à contacter les alternances noématiques qu'il met en place : que se cache derrière le masque vert de l’appui corporel ? Son geste d'attention manque bien de tonus ou d'intensité pour qu'il puisse lui-même le détecter correctement.

 

Cela est corroboré par un autre indice. Ses allergies en médecine chinoise indiquent un vide du Yang de la Rate que je traduis en noématique par une faiblesse de la posture d'acteur dans le geste d'attention.
Nous aurons donc à explorer les quatre autres gestes pour voir comment ils s’articulent avec l’attention : ce sera l’objet des futures séances.

 

En attendant, comme beaucoup trop d’élèves, William ignorait l’existence du protocole de séparation dans l’espace. Il va le mettre en pratique chez lui car cela lui plaît de pouvoir bouger librement entre l’énoncé et son cahier d’exercices, et de pouvoir combiner corps et pensée pour arriver à produire.

Nous verrons lors de la prochaine séance ce que cela à produit.

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29 janvier 2019 2 29 /01 /janvier /2019 10:00

2019 vient de commencer. Bonne année à tous !
C’est le temps des bonnes résolutions.
Mais à quoi servent les bonnes résolutions ?

À choisir un objectif, et ce faisant, à exercer notre liberté, non seulement de rêver, mais de vivre. Car une fois que nous savons ce que nous voulons, nous pouvons déployer toutes nos richesses intérieures, toujours mésestimées, pour l’atteindre.

Par contre, si nous ignorons où aller, nous errons dans notre vie : nous nous sentons perdus, démotivés.

Aussi, l’objectif est primordial. Dans notre vie de tous les jours, il est la destination de nos vacances. Nous en rêvons et en même temps, si nous voulons transformer notre rêve en réalité, nous nous renseignons sur comment atteindre le lieu rêvé : à pied, en voiture partagée, en train, en avion... Nous devons aussi trouver un hébergement : chez l’habitant, dans une auberge de jeunesse, à l’hôtel... Nous anticipons également tout ce que nous pourrons faire là-bas quand nous y serons. Et la tête dans les étoiles, nous gardons aussi les pieds sur terre. Nous économisons jour après jour, semaine après semaine, mois après mois, pour atteindre le but fixé.

Cela peut sembler métaphorique, mais il en est de même pour chaque objectif que nous aurons choisi : comment l’atteindre, que faire une fois atteint, que faire chaque jour, chaque semaine, chaque mois pour s’en rapprocher ? Et faire un point chaque jour, chaque semaine, chaque mois pour voir où nous en sommes dans notre avancée.

Prolongeons encore la métaphore pour trouver des moyens d’action concrets. Parfois, nous trouvons une photo du lieu de nos prochaines vacances et l’accrochons au mur comme cible à atteindre. Faisons de même pour notre objectif : affichons-le comme fond d’écran pour y penser sans cesse.

Maintenant que 2019 est là, donnons-nous de bonnes résolutions. Écrivons-les, affichons-les et pas que dans notre mémoire ou le secret de notre cœur. Illustrons-les par une photo ou un objet qui deviendra familier. Et transformons le temps qui toujours s’enfuit en une succession d’instants dont chacun nous rapproche du moment où notre rêve prendra vie, et où notre vie deviendra notre rêve.

Bonne année 2019 ! Avec mes meilleurs souhaits.

Frédéric Rava-Reny

 

 

 

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16 octobre 2018 2 16 /10 /octobre /2018 08:00
« Je suis trop contente car j'ai testé, hier et aujourd'hui, deux méthodes simples sur un élève que ma collègue m'a "donné" car elle n'a pas le temps de s'en occuper. 
C'est un petit CP de 6 ans qui vit en France depuis quelques mois seulement. Dans sa famille, ils n'échangent qu'en arabe. Les parents ne parlent pas français mais mon petit élève, Mouloud, se débrouille déjà très bien. 
Or, il rame pour l'apprentissage des lettres (lecture et reconnaissance.) 
 
Cela fait depuis le début de l'année scolaire que je travaille avec lui et j'étais au summum de la frustration car je n'arrivais pas à lui faire lire les lettres L et D de son prénom (curieusement, il connaissait déjà les autres...ouf !) Il les reconnait, mais impossible de lui faire dire le nom de ces deux lettres qu'il se plaisait à rebaptiser E, I, X etc... un peu au hasard.
 
Appel à la rescousse de l'enseignante qui était bien en peine de me donner une méthode.  C'est un peu  : "Sophie, fait au mieux, s'il n'y arrive pas, ce ne sera pas de ta faute." 
 
Après nos deux journées de formation, j'ai décidé de tenter deux choses. D'abord lui montrer la lettre, puis lui faire fermer les yeux et lui demander s'il la voyait toujours. Recommencer jusqu'à ce qu'il la visualise bien (2 / 3 essais) puis lui faire tracer sur son ardoise. 
Et là... il me donnait le nom qui allait avec la lettre. Trop chouette.
Pour ancrer le souvenir, j'ai usé du déplacement. Je pose deux lettres sur une chaise. Il va les retourner et revient vers moi pour me les dire. S'il se trompe ou s'il n'est pas sûr, il y retourne, et, pour l'instant, il a été capable de conserver le souvenir de ces deux lettres d'un jour sur l'autre, lui qui les oubliait dans la seconde. 
Je verrai bien si, après ce mercredi passé à la maison, il les saura toujours jeudi. 
Sinon, je recommencerai. Mais déjà, quel progrès... 
 
Voilà. C'est chouette. »
 
C'était le témoignage de Sophie après sa formation, « Penser moins pour penser mieux ». Bien sûr, son nom comme celui de son jeune élève ont été changés.
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12 octobre 2018 5 12 /10 /octobre /2018 08:00

Nous pouvons attendre de nous réveiller un jour avec une motivation qui nous permettra d'aller en cours ou d'affronter les situations pénibles de la journée. Mais nous risquons attendre longtemps.

 

Pourquoi ?

 

Parce que dans une attente passive, le temps passe comme le train que regardent les vaches, sans les emmener en voyage vers de plus verts pâturages.
Une des racines profondes de la démotivation est la passivité, la croyance que non, nous ne pouvons rien faire, rien à rien. Or nous pouvons agir. Bien sûr, nous ne pouvons pas contrôler l'océan, mais cela n'empêche pas de prendre la mer et d'arriver à bon port. Nous ne pourrons pas changer la vie, mais nous disposons de suffisamment de capacités pour diriger notre vie.
Des films comme Le fabuleux destin d'Amélie Poulain illustrent cette possibilité de changer le cours des choses malgré une vie « banale ». Amélie Poulain pourrait sombrer dans la morosité du quotidien, céder à la tentation de se laisser aller et laisser agir les méchants à leur guise. Or elle n'en fait rien. Elle agit et change non pas l'univers mais le cours des choses, la vie des êtres qui l'entourent et en retour la sienne même.
Comme le disait Wang Yangming, un des quatre grands maîtres du confucianisme : « Agir est facile. »

 

Mais comment agir, comment en entretien sortir de cette passivité ?
Voici trois pistes.

 

Tout d'abord, distinguer « cerveau » et « conscience ». Pourquoi ? Si nous sommes le jouet de notre cerveau, nous retombons dans une passivité du style : « Je n'y peux rien, c'est mon cerveau ! » Tout devient alors inéluctable. Or c'est faux, le cerveau, organe plastique, est sensible à nos pensées qui le modèlent. Comme la poule et l’œuf qui s'engendrent mutuellement, notre cerveau est la base biologique de nos pensées qui en retour l'influencent. Ainsi, non seulement nous aurons notre mot à dire, mais le dernier mot.

 

Puis, comprendre que le temps de l'enfance est révolu, cette période d'insouciance (pour nous) où notre cerveau ou nos parents se souciaient de tout pour nous à notre place. Nous sommes devenus grands, au moins pour notre cerveau qui attend des instructions. En l'absence desquelles il tombe en déshérence. Pour comprendre corporellement cette situation, appuyez sur l'accélérateur de votre voiture ou pédalez à toute allure, et soudain arrêtez d'accélérer et de toucher votre volant ou votre guidon. Votre voiture ou votre vélo continue d'avancer, tandis que vous voilà réduit à une passivité totale. Il manque de votre part impulsion et orientation. Nous pouvons ainsi nous sentir démotivés tout simplement par oubli de notre part de responsabilité : c'est à nous d'orienter le cours de notre vie, en la prenant en mains.

 

Enfin, découvrir les trois éléments indispensables à toute activité réussie. Pour cela je donne trois activités. Je commence toujours par une activité de réussite (certains préfèrent commencer par faire vivre une situation d'échec à leurs élèves ou leurs stagiaires, histoire de bien montrer qui est le maître - je les laisse à l'inconscience de leurs actes). La personne ayant réussi une activité, elle dispose d'un matériel mental qu'elle a elle-même élaboré et que nous explorons ensemble. Je propose ensuite une activité où elle n'a pas de matériel mental à sa disposition, et où elle est donc condamnée à échouer. Ces deux activités, l'une réussie et l'autre non, permet d'établir une comparaison et de rechercher les conditions du succès. C'est bien l'activité mentale, la passivité engendrant inéluctablement l'échec. Nous terminons par une troisième activité, du style "test d'attention". Je montre ainsi le troisième élément indispensable à toute réussite : l'objectif.
Et il se trouve que c'est à chacun de nous de se fixer ses propres objectifs...

 

La passivité se nourrit d'une méconnaissance de la conscience, de la responsabilité que nous avons à la développer, des moyens de la faire grandir. Cette ignorance engendre la démotivation. Une connaissance plus grande de ses ressources conscientes et du rôle que nous avons à jouer dans notre propre vie alimente la motivation. Qu'attendons-nous pour agir maintenant que nous savons que faire ?...

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11 octobre 2018 4 11 /10 /octobre /2018 09:00

Bonjour

Pour répondre aux demandes, nous ouvrons une deuxième session de la formation : « Penser moins pour penser mieux » les jeudis 18 octobre et 8 novembre à Bordeaux.

En deux jours, découvrez comment augmenter votre attention, stabiliser votre pensée, mémoriser plus efficacement et comprendre plus rapidement : en résumé, découvrir comment penser moins pour penser mieux

Selon si vous payez la formation à l'avance, les tarifs changent. Et si votre enfant a déjà suivi des entretiens ou un stage avec nous, il y a un tarif privilégié.
• Tarif de la formation : 
245 € (5 € d’adhésion à l’association, 120 € par journée).
• Tarif non remboursable : 165 € (5 € d’adhésion à l’association, 80 € par journée). Pour bénéficier de ce tarif, vous devez régler la totalité de la formation à l’avance.
• Tarif découverte, non remboursable : 105 € (5 € d’adhésion à l’association, 50 € par journée), réglable à l’avance et accordé si vous (ou votre enfant) avez déjà suivi entretien ou stage avec nous.


Dans tous les cas, faites une pré inscription en ligne.
Attention, il n'y a que cinq places ! Premier arrivé, premier servi...

 

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Published by gestionmentale.org - dans Formations
11 septembre 2018 2 11 /09 /septembre /2018 11:00

Bonjour

C'est la rentrée ! Avec de nouvelles conférences, et les formations qui reprennent.
Et oui, le premier tome de la série "Les secrets de l'apprentissage dévoilés" est presque terminé... nous vous tiendrons au courant.

En attendant, quelques conférences en septembre (détails sur le blog au fil du temps) :
- Apprendre l'anglais facilement : de nouvelles pistes, à Gujan-Mestras le jeudi 13, de 18 h à 20 h ;
- Échec scolaire, rien n'est définitif, à Arcachon, le jeudi 27, de 17 h 30 à 19 h 30 ;
- Multipliez les intelligences, à Modène, le vendredi 28, de 17 h à 19 h ;
- Accompagnez les devoirs, à Modène, le samedi 29, de 10 h à 12 h.

Et les prochaines formations : « Penser moins pour penser mieux » les 7 et 14 octobre à Bordeaux.
En deux jours, découvrez comment augmenter votre attention, stabiliser votre pensée, mémoriser plus efficacement et comprendre plus rapidement : en résumé, découvrir comment penser moins pour penser mieux

Bien sûr, nous avons tenu compte de vos demandes pour les tarifs :
- l'adhésion à l'association est désormais de 5 € ;
- n'importe quelle journée de formation coûte 120 € (si vous n'êtes pas sûr de pouvoir venir, choisissez cette formule car en cas de désistement, c'est la seule formule remboursable) ;
- si vous réglez à l'avance, le tarif d'une journée est de 80 € non remboursable ;
- si votre enfant a déjà suivi des entretiens ou des stages avec nous, vous bénéficiez du tarif découverte de 50 € la journée.

En résumé :
1er cas : vous voulez payer au début de la formation, le coût sera de 245 €.
2ème cas : vous réglez la totalité à l'avance : les deux jours vous reviennent en tout à 165 €.
3ème cas : votre enfant est déjà venu chez nous, votre stage vous revient alors à 105 €.

Dans tous les cas, faites une pré inscription en ligne.
Attention, il n'y a que cinq places !
Nous avons décidé d'augmenter la qualité de nos formations en diminuant le nombre de stagiaires pour un meilleur suivi.
Que du bonheur je vous dis...

Alors à bientôt
Frédéric Rava-Reny

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