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15 mars 2018 4 15 /03 /mars /2018 17:00

La prochaine conférence « Aidez votre enfant à mémoriser – un cas pratique : les poésies
(La mémoire ? Tout un poème !) » aura lieu à Bordeaux le samedi 24 mars prochain

Vous découvrirez sept façons d’apprendre les poésies, et le secret de la mémorisation en plus ! Et aussi comment mettre le mouvement de votre enfant au service de son apprentissage et comment une invention chinoise a bouleversé la mémoire. Les cas pratiques sont très concrets et peuvent s’appliquer dans d’autres domaines. Le conférencier répondra également aux questions des participants.

La conférence sera animée par Frédéric Rava-Reny, enseignant-chercheur en sciences cognitives à l’IFeP – Initiatives et Formations en Pédagogies – émanation européenne de l’association IF, fondée par Antoine de La Garanderie en 1978.

Son axe de recherche est l’hypothèse de l’existence d’un noyau central commun à toutes les disciplines – scientifiques, littéraires, sportives, techniques et artistiques.

Cette conférence peut être faite pour les élèves, leurs parents, les enseignants et autres
professionnels de l’éducation.


L'entrée est gratuite, mais il faut s'inscrire !
https://www.helloasso.com/associations/dyspraxique-mais-fantastique/evenements/conference-gestion-mentale

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7 mars 2018 3 07 /03 /mars /2018 16:00

Pour être attentif, il faut donner une direction à sa pensée (un projet) et mener une action. L’action consiste à se fabriquer un souvenir (évoquer). On peut évoquer de façon concrète (en P1), conventionnelle (en P2), logique (en P3) ou personnelle (en P4), et bien sûr un mélange de ces quatre façons dans des proportions personnelles.

Fabriquer des souvenirs en P4, c’est faire des associations personnelles – ce que La Garanderie nommait des opérations élaborées. Le souci, à l’école, c’est que cette touche personnelle n’est pas forcément bien vue : de l’humour, des métaphores, cela peut sembler comme un manque de sérieux. Aussi, par auto-censure, ou suite à des remarques désobligeantes des enseignants, l’élève va cesser de se fabriquer ces souvenirs personnels. Le nombre de souvenirs diminuant, l’attention diminuera aussi, et surtout l’intérêt. Le cours va devenir fade, jusqu’à tomber dans la dépréciation complète, et l’élève dans la dépression scolaire.

Mais qu’est-ce qui dérange dans le P4 ?...

Quand le P4 consiste à prolonger ce qui est donné, cela peut encore passer. L’enseignant montre quelque chose, l’élève va trouver la suite, l’extension : ce prolongement, s’il n’est pas trop original, peut passer et être accepté ou toléré. On dira à l’élève que l’on verra ça plus tard, ailleurs. Au début, l’élève prend son mal en patience : il est encore un enfant, il croit aux promesses des lendemains qui chantent que lui présentent la grande personne qui lui enseigne. Mais souvent, cet espace (ailleurs) et ce temps (plus tard), ne viendront jamais. Ou trop tard, quand le temps de l’attente aura érodé la curiosité de la jeunesse. Et souvent le jeune n’aura jamais dans les années ultérieures de sa scolarité les réponses à ses questions, les fameux « pourquoi ? » de l’enfance ou les « à quoi ça sert ? ». Adolescent, jeune adulte, que voit-il en se regardant dans la glace, sinon l’envers du décor et le côté obscur de la réalité ?... Le monde s’est désenchanté. Certains sombrent ainsi dans le nihilisme (l’univers est privé de sens), d’autres dans le solipsisme (le monde est la projection de ma pensée donc je fais ce que je veux), et une poignée dans un prêt à penser comme les intégrismes et terrorismes de tous ordres. Rien de surprenant que les zombies soient devenues les idoles des jeunes : c’est leur vrai visage, des morts vivants assoiffés de cervelle, métaphore sombre des êtres avides de sens (cervelle fraîche) aux rêves brisés (morts) qu’ils sont devenus (vivants malgré tout).

Et cela, rien qu’avec la version la plus acceptable socialement du P4, le prolongement. Qu’en est-il donc des deux autres ?...

Quand le P4 consiste à trouver une alternative à ce qui est proposé, à détourner ce qui est présenté, là, le représentant de la loi (P2) que représente le professeur peut se fâcher plus rapidement.

On ne dira plus de la personne qu’elle est inventive, mais qu’elle est excentrique, pas qu’elle est originale, mais qu’elle outrepasse les limites, qu’elle jette les germes de la contestation dans la classe. L’élève bien sûr ne comprend pas, car c’est juste ça façon de penser le cours, d’y être présent, d’être attentif. L’enseignant ou le parent gagnerait à être plus attentionné face à cette forme d’attention. Que le jeune indique un contre-exemple n’est pas la marque d’une contestation, mais d’une intégration personnelle, de son activité intellectuelle véritable.

Et quand le P4 consiste à combiner ce qui est présenté avec d’autres éléments, l’enseignant pourra hurler au bricolage, critiquant amèrement un salmigondis de concepts n’ayant rien à voir ensemble... alors que c’est justement cette combinaison personnelle qui marque le sceau d’une véritable activité cognitive de la personne.

 

Que ce soit par prolongement, par détournement ou par combinatoire, l’humour sera toujours suspect en cours, les apports personnels douteux, les comparaisons lointaines hasardeuses...

Alors l’enfant dont les yeux brillaient en faisant du P4 va commencer à s’éteindre. Il n’apprendra même pas « par cœur » au sens véritable du terme, car quand on met du cœur à l’ouvrage il y a de la joie, il apprendra une convention dénuée de sens, donc un arbitraire. Surtout il ne faut plus chercher à comprendre quoi que ce soit, c’est ainsi, voilà tout.

Voilà comment tout un pan de notre jeunesse s’éteint sur les bancs de l’école, et qu’au lieu de développer la capacité de choix, vitale pour nos démocraties, nous apprenons à notre jeunesse à obéir sans pensée, faisant le lit de toutes les violences.

Il est plus que temps de redonner sa place à l’humour, à la métaphore, à la quatrième porte de la pensée que La Garanderie avait nommé « paramètre 4 » : enrichissons nos cours et nos vies des prolongements, des mutations, des alliances entre les concepts, entre les choses et enfin entre les êtres. Il en va de la vie même de nos sociétés. L’humour, c’est très sérieux.

Frédéric Rava-Reny

 


Enseignant-chercheur en sciences cognitives à l’IFeP – Initiatives et Formations en Pédagogies – émanation européenne de l’IF, association fondée par Antoine de La Garanderie en 1978.
Son axe de recherche est l’hypothèse de l’existence d’un noyau central commun à toutes les disciplines – scientifiques, littéraires, sportives, techniques et artistiques.
Dans le cadre de son étude menée depuis 1983, l’alternance enseignement-recherche, terrain et théorie, dans ces différentes disciplines lui a permis d’éprouver la validité de ses découvertes.
 

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14 février 2018 3 14 /02 /février /2018 10:00

Mais que se passe-t-il le 14 février ? Pas du tout ce que vous pensez...
Il y a deux choses méconnues à savoir pour comprendre certains secrets du calendrier. La première, c'est que le milieu d'une saison est le solstice ou l'équinoxe, comme midi est le milieu du jour. La seconde, c'est qu'il y a autant de saisons que de gestes mentaux élémentaires ou d'opérations de base en maths, donc cinq et pas quatre.
Il y a les quatre saisons que vous connaissez, le printemps, l'été, l'automne et l'hiver, et une cinquième saison qui est invisible car elle se situe entre chacune des quatre autres.
Comme il y a 365 jours, chaque saison dure 365 divisé en 5 soit 73 jours.
Le printemps, l'été, l'automne et l'hiver dure donc 73 jours. Chacune des quatre intersaison dure 73 divisé par 4 soit 18 jours environ (3 intersaisons de 18 jours et une de 19 jours...).
Du coup, cela fait :
- hiver : 73 jours ;
- intersaison : 18 ou 19 jours ;
- printemps : 73 jours ;
- intersaison : 18 ou 19 jours ;
- été : 73 jours ;
- intersaison : 18 ou 19 jours ;
- automne : 73 jours ;
- intersaison : 18 ou 19 jours.

Le milieu du printemps, c'est l'équinoxe, donc le 23 mars. Il y a donc 36 jours avant et 36 jours après. Et 36 jours avant le 23 mars, c'est ?... Le 14 février !
Le 14 février marque donc le début du printemps en évocation. Le printemps en perception commence le 23 mars, mais ça tout le monde le sait déjà...

 

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Published by Frédéric RAVA - dans Calendrier
4 décembre 2017 1 04 /12 /décembre /2017 10:00

Nos enfants rêvent parfois d'impossible : ne les décourageons pas ! Il faut parfois rêver de grandes choses pour en accomplir de petites. Nous savons qu'il n'est pas doué pour la cuisine et pourtant il veut devenir cuisinier... Au lieu de trouver toutes les raisons du monde pour qu'il abandonne son rêve, et sa motivation en même temps, patientons.

Et si comme enfant, nous avons des parents qui nous expliquent par a plus b que cuisinier ce n'est pas pour nous car il faut faire de longues journées debout, etc., cachons leurs nos rêves et laissons-les grandir en secret (nos rêves et nos parents !...)

Pamela L. Travers raconte dans What the bee knows - Reflections on myth, symbol and story, dans "Letter to a Learned Astrologer" , comment elle fut découragée de ses rêves par sa famille, mais comment elle eut la force de caractère de les préserver. Elle écrit cette phrase magnifique :
« Families, perhaps luckily, have a unique facility for minimising capacities and aspirations simply by disbelieving them, making them butts for witticisms. The wise child quickly learns to dissemble and keep its dream safe and intact. »
que je traduis librement par :
« Les familles, peut-être est-ce une chance, ont une aptitude à nulle autre pareille pour minimiser les possibilités et les aspirations tout simplement en ne croyant pas en elles, en en faisant des cibles aux traits d'esprit et autres jeux de mots. L'enfant sage et avisé apprend rapidement à dissimuler ses rêves pour les garder intacts et à l'abri. »

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27 novembre 2017 1 27 /11 /novembre /2017 19:59

Comment performer, ou comment améliorer ses performances, connaître le meilleur de soi pour réussir à atteindre ses objectifs, voici le thème de la prochaine conférence animée par Frédéric Rava-Reny, formateur chercheur à l'IFeP, consultant en pédagogie et potentialiste.

La conférence, gratuite, a lieu samedi 2 décembre, de 16 h à 18 h, à la librairie Quai des Livres, 102 cours Victor Hugo à Bordeaux.

Au travers de nombreuses anecdotes, découvrez concrètement des applications de la "gestion mentale" et aussi de la méthode Potentialis qui éclaire l'orientation scolaire et professionnelle.

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26 novembre 2017 7 26 /11 /novembre /2017 12:00
Un exemple en langue des portes P1, P2, P3, P4.
Dans une langue :
- les onomatopées c'est du P1 ;
- les mots standards, c'est du P2 ;
- les mots techniques, c'est du P3 ;
- les expressions idiomatiques, c'est du P4.
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20 novembre 2017 1 20 /11 /novembre /2017 15:20

L'écriture inclusive, et les remous qu'elle suscite, met en évidence deux erreurs fondamentales de notre enseignement du français. Cela passe inaperçu car la meilleure façon de cacher la vérité est de la rendre évidente (pour les lectures d'Edgar Allan Poe, c'est la lettre volée que personne ne trouve car elle est clouée sur le mur, sous les yeux... et comme je dis souvent, il y a un vieux proverbe de gestion mentale que j'ai inventé il y a quelques mois "Tout sous les yeux, rien dans la tête !").

En France, on n'enseigne plus, ou mal, la différence entre la nature et la fonction. Mal car autrement nous n'en serions pas à débattre sur la violence faite aux femmes à travers l'écriture, et comment l'éviter avec l'écriture inclusive...
Mais qu'est-ce que cette distinction entre nature et fonction ?
Pierre est marcheur quand il marche, danseur quand il danse, médecin quand il exerce sa profession. Sa nature reste la même dans tous les cas : il demeure qui il est, sa fonction change selon le rôle qu'il a ou ce qu'il fait.
Certes, dans le langage courant, nous dirons que Pierre est médecin. Mais cette commodité est ruineuse en pédagogie. Car nous en viendrons à dire que cet élève est nul car il a zéro, qu'il est dyslexique parce qu'il a une dyslexie, etc. On peut se débarrasser de ce que l'on a, on peut changer de rôle. Mais changer qui l'on est... c'est plus dur, c'est la nature. Il s'agit donc ici de différencier ce qui relève de l'être, la nature, de ce qui relève de l'avoir, la fonction.
Devenir juste quelqu'un qui a ou qui fait, c'est oublier la personne. Et c'est sans doute cette violence de l'oubli de l'identité que veut combattre, maladroitement, l'écriture inclusive. Car il vaut mieux attaquer le mal à la racine plutôt que  de s'en prendre à un symptôme incompris.
En français standard, on écrivait "Madame LE professeur", "Madame" pour indiquer la nature, et "LE" pour indiquer la fonction. Notre langue a donc toujours été prête pour que des femmes (nature) puissent exercer les métiers (fonction) de leur choix. La première erreur est d'oublier cette différence entre nature et fonction.
Et pour ceux qui auraient besoin de plus de clarté, la nature, c'est le sexe, la fonction, c'est le genre. Une table n'a pas de vagin, mais c'est un mot féminin. Masculin ou féminin ne parlent donc pas de sexe mais bien de genre. La langue nous invite à nous rappeler qu'il n'y a pas de métiers "d'hommes ou de femmes" mais des métiers masculins ou féminins, ce qui n'est pas exactement la même chose. Distinguer nature et fonction libère donc des carcans de l'esprit.
C'était la première erreur, fondatrice de toutes les autres en langues.

La seconde erreur est plus subtile : nous n'enseignons plus la typographie. Pour preuve, l'usage du trait oblique "/", ou slash, qui veut dire "ou" et non pas "et". Ou encore la croyance répandue que les majuscules ne prendraient pas d'accents... comme si "ÉLÈVES EN PLEIN AIR" voulait dire la même chose que "ÉLEVÉS EN PLEIN AIR".
Aurions-nous enseigné la typographie que nous saurions tous que le point indique une fin, et pas une option comme dans l'écriture "inclusive".
Mais pourquoi n'enseigne-t-on pas ? Parce que nous sommes sous le joug de Windows qui a fait disparaître les guillemets français, en chevron, «...», au profit des guillemets anglais, "..." ? En partie. Mais surtout par paresse : la typographie est le raffinement de la langue écrite. C'est la dernière touche de maquillage de la phrase, la marque d'une certaine coquetterie... Mais en oubliant cet enseignement, en formant des brutes, nous avons choisi de vivre dans un monde de brutes. Rien d'étonnant alors de voir les filles hurler quand on oublie le E. C'était pourtant connu...
on ne fait pas de grammaire sans casser des E !

 

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16 novembre 2017 4 16 /11 /novembre /2017 09:00

En France, en ce moment, l'avenir de nos enfants se joue dans les négociations sur la formation.
Pourquoi ?
Actuellement, un enseignant, comme tout autre travailleur, ne peut pas choisir les formations qu'il souhaite. Même si comme tout travailleur une partie de son salaire est mis de côté pour ces formations. Et même si ces formations sont nécessaires, comme celle que nous proposons.
Avec la refonte actuelle de la formation proposée par le gouvernement, chaque salarié aurait enfin à sa disposition son budget formation, et choisirait celles qui lui sont utiles.

Nous ne pouvons qu'approuver cette démarche. Nous savons depuis des années que nos formations sont efficaces.
Les équipes pédagogiques qui se forment chez nous obtiennent des résultats éclatants, comme celle du projet PARI, qui reçoit par exemple le prix de l'innovation pédagogique un an après le lancement du projet.
Les enseignants qui suivent notre parcours de formation font réussir leurs élèves, sont reconnus comme exemplaires par les parents, et encouragés par leur hiérarchie.
Même efficacité observée chez les orthophonistes.
Quant aux parents, le sourire retrouvé de leurs enfants les invite à nous soutenir depuis 20 ans... surtout quand les notes augmentent en même temps !

Si les formations étaient vraiment libres et jugées sur leur efficacité, nous aurions remplacé les organismes qui forment les enseignants avec l'échec que nous connaissons : 11 % d'analphabètes à la fin du primaire, 20 % d'illettrés ou d'analphabètes à la fin du collège...
Sans compter l'explosion des troubles dys face auxquels l'école est démunie, alors que nos protocoles d'accompagnement marchent...

Une liberté dans la formation permettrait ainsi à tout enseignant qui le souhaite de suivre nos formations. Et plus d'attendre un jour ou deux consentis par sa hiérarchie...
Tout salarié pourrait aussi apprendre à être plus efficace tout en respectant ses valeurs personnelles.
Entre des parents qui retrouvent un confort et des enseignants efficaces, notre société pourrait enfin accompagner tous les enfants vers leur épanouissement.

Nous, on y croit. ;-)

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15 novembre 2017 3 15 /11 /novembre /2017 18:00

- Bonjour, j'appelle pour ma commande, je vous donne mon nom ?
- Bonjour. Non, votre numéro de commande ou votre numéro de facture.
- D'accord, attendez un instant. C'est la treize trente-six soixante quatre (13 36 64).
- Ce n'est pas possible, ce numéro ne correspond à rien, nos numéros de commandes commencent par cent-trente-trois-mille.
- Ah, attendez, oui, j'ai aussi comme numéro cent-trente-trois-mille-six-cent-soixante-quatre (133 664). [je suis intelligent, je m'adapte... et je sais aussi rester courtois devant quelqu'un qui ne l'est pas]
- Oui, très bien, bonjour Monsieur Rava, que voulez-vous savoir ?...
 

Cet échange téléphonique m'a laissé perplexe. Il y aurait bien en France 20 % d'illettrés ou d'analphabètes à la sortie du collège. Ou, si ce n'est pas le cas pour cette personne, beaucoup de personnes qui manquent de souplesse intellectuelle.

Et que fait-on par rapport à ça ?...
Eh bien, nous en tout cas on diffuse la gestion mentale...

 

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9 novembre 2017 4 09 /11 /novembre /2017 15:10

Le 18 octobre dernier, deux chercheurs français, Albert Le Floch et Guy Ropars, publiaient leur découverte sur la dyslexie (http://www.huffingtonpost.fr/2017/10/18/une-cause-potentielle-de-la-dyslexie-decouverte-par-des-chercheurs-francais_a_23247045/) : une incapacité du cerveau à choisir entre deux images. En cause, deux parties des yeux, les « centroïdes de la tache de Maxwell », qui au lieu d'être asymétriques l'un de l'autre comme chez les « non-dyslexiques », seraient symétriques... D'où la confusion entre les lettres b,d,p,q...

Les chercheurs ont également mis au point une lampe stroboscopique qui facilite la lecture chez certains « dyslexiques ».

Comme il fallait s'y attendre, d'autres scientifiques ont contesté la validité de la découverte en avançant que les causes et la définition de la « dyslexie » sont plus complexes.

 

Quel est mon point de vue ?

La suite à : http://gestionmentale.net/la-dyslexie-au-fond-des-yeux/

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