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22 février 2016 1 22 /02 /février /2016 12:00

Il principio dell'apprendimento è la ripetizione d'un movimento lento, sia del corpo che della mente. Per il corpo, i movimenti sono gesti fisici (quelli che tutti conoscono) mentre per la mente si tratta di gesti mentali (quelli che pochi conoscono e che sono descritti e insegnati dalla nostra disciplina chiamata "gestione mentale" dal Ministero Francese dell'Educazione Nazionale).

Per imparare un movimento fisico crediamo spesso che la ripetizione o l'allenamento sia sufficiente. Purtroppo non è così perché per imparare un movimento dobbiamo sentire la propriocezione, portarla a noi in maniera cosciente. Basterebbe infatti sentire le parti del nostro corpo che agiscono in modo propriocettivo, cosa che non avviene quasi mai proprio perché non siamo coscienti del nostro corpo, abbiamo contrazioni e, più difficile da identificare, mancanza di consapevolezza.

1. Le immagini mentali: un mezzo e non uno scopo

C'è allora una via che è di solito rifiutata dagli insegnanti di "arti marziali" perché incompresa e spesso perché sottile e pericolosa: la via dell'immagine mentale o del pensiero. Il movimento che facciamo o che fa l’insegnante possiamo vederlo mentalmente, parlarcelo mentalmente, fare mentalmente un’associazione sonora. Queste immagini mentali, o questi pensieri, non sono uno scopo ma un mezzo, un mezzo molto utile. Ci sono molti modi per creare un’immagine mentale (dodici di base, cinquantaquattro nella forma più complessa). Per ogni modalità, ne abbiamo altre centoventisei che vanno in aiuto alla formazione di pensieri e immagini, motivo per cui è facile trovare quella che fa per noi!

2. Quando usare le immagini mentali e quale (le evocazioni)

Queste immagini mentali hanno un nome tecnico: “evocazioni”. Una prima difficoltà è rappresentata dal fatto che le evocazioni non sono un fine ma un mezzo nelle pratiche corporali o musicali. Un altro punto di confusione è che le evocazioni, possono essere necessarie prima dell'esecuzione d'un movimento, dopo l'esecuzione, ma diventano un ostacolo durante l'esecuzione d'un movimento. C'è un tempo per la tecnica, ed un altro per l'espressione della spontaneità. Tra tecnica e spontaneità c’è un rapporto dialettico che richiede un lavoro basato sul rilassamento, mentale e corporale: quando le nostre idee sono rigide non possiamo fare movimenti morbidi e sottili.

3. Lo scarto tra le evocazioni archetipali e le nostre: fonte d'informazione utile

Un ultimo punto, poco conosciuto, è l'utilizzazione nell'apprendimento degli evocazioni archetipali. Ci sono modalità efficaci per evocare un movimento come pensare con consapevolezza sottile e creare immagini mentali stabili e complete. Possiamo, ad esempio, associare mentalmente (spontaneamente o volontariamente) un colore ad un movimento. Ma c'è un colore archetipale (più efficace) per ogni movimento. La differenza tra questo colore e quello che scegliamo "liberamente" di associare al movimento, questa differenza, o scarto, dà preziose informazione per imparare più efficacemente.

A causa di questi tre punti (confusione tra uno scopo e un mezzo, non conoscenza su quando e come evocare, scarto tra i nostri evocazioni e i archetipali), l'uso delle evocazione negli apprendimenti corporali o musicali è sottovalutato e sottoutilizzato. Da qui l'importanza di insegnare la loro pratica corretta. Posso insegnare la base di questa pratica in pochi giorni.

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Published by Frédéric Rava - dans ITALIANO évocation EPS mouvement sport Musique Applications MéMoRiSaTiOn
10 février 2016 3 10 /02 /février /2016 11:00

- Vous comprenez (docteur), on vous l'amène notre gamin parce qu'il ne nous écoute point.
- Vous savez ce que c'est, avec ses propres enfants, c'est toujours plus dur...

Pourquoi faire appel à quelqu'un d'autre, fût-il spécialiste en pédagogie, pour nos propres enfants ? D'autant plus que ce qu'il dit, nous le disons souvent aussi à nos enfants.

Petit retour en arrière, pour avoir un éclairage pédagogique quelque peu différent de la dimension affective habituelle.
Selon l'un des postulats de la "gestion mentale" (le nom donnée par l'éducation nationale à la pédagogie des gestes mentaux), l'Homme serait un être de sens. En clair ? Nous n'aimons ni l'absurde ni l'arbitraire. Nous avons besoin de croire qu'il y a du sens dans ce que nous faisons ou dans ce que nous vivons, ou bien de trouver ce sens, de l'inventer ou de le découvrir. Nous rejetons l'arbitraire, le "c'est comme ça et puis c'est tout", la raison du plus fort... Nous aimons la justice, celle qui fait sens, nous condamnons les injustices.

Et cela depuis fort longtemps. Enfant, nous cherchions déjà le sens de nos actes, de nos mouvements, de notre entourage, de notre environnement. Nos parents autorisaient certaines choses et en interdisaient d'autres, selon notre âge, notre capacité de compréhension, nos actions. Au fil du temps, certaines choses interdites ne le furent plus : en grandissant, il y a du changement. (Et là soudain je me dis que c'est peut-être pour ça que le grand ne fait toujours pas sa lessive, il est peut-être resté au stade où les produits ménagers sont interdits ! Je lui demanderai tiens !)

Au fur et à mesure de la croissance de l'enfant, nous le laissons faire de plus en plus de choses. Et nous pouvons lui expliquer... ou non (Désolé, le "Tu es grand maintenant !" est un peu court versant explications... mais cela peut très bien faire l'affaire !)
Et sur ce qui est vraiment dangereux, nous ne céderons jamais. (Oui mon chéri, comme c'est la millième fois que tu me le demandes, mets les doigts dans la prise !) Et peut-être un jour notre enfant comprendra que telle règle n'était pas le fruit de notre bon-vouloir mais bien la prise en compte d'une réalité avec ses dangers.

Sauf que, concernant l'apprentissage, comment être attentif, mémoriser, réfléchir, comprendre, imaginer, comment vérifier que ce que dit le parent est bien la réalité et pas juste l'expression de son bon vouloir ?... C'est là qu'aller voir Môssieur l'Expert (ou Madame l'ex-mère ?) apporte une touche d'objectivité. Et donc un peu plus de sérénité dans les relations parents-enfants.

D'où aussi l'intérêt de connaître sa gestion mentale, pour mieux s'accepter et se faire accepter des autres (surtout de ses proches !) : si vous ne savez pas quoi faire les dimanches 13 et 20 mars, venez vivre cette formation unique "Découvrir sa gestion mentale" (appelez-nous au 06 05 29 43 05). Pour votre enfant, un entretien individuel ou un stage jeunes avec des pros feront l'affaire...

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Published by Frédéric Rava - dans parents P2 postulats
31 janvier 2016 7 31 /01 /janvier /2016 21:21

Bonjour,

Et bonne année 2016 ! (oui, il est encore temps, mais il y a encore de l'espace ?...)

Et tous nos vœux de réussite ! (car vous le savez, on peut tous toujours réussir, titre d'un ouvrage d'Antoine de La Garanderie...)

Forts de nos huit stages jeunes et de nos nombreuses formations réalisées grâce à vous en France et en Italie en 2015, nous gardons dans l'avenir notre confiance que nous souhaitons communicative.

Pour favoriser en 2016 la pleine expression de toutes vos ressources, nous vous proposons déjà (entre autres !) :

• pour les jeunes :

- différents stages, sur Bordeaux, Paris ou dans votre établissement, en France ou en Italie, en français, en anglais ou en italien, pendant les vacances ou sur le temps scolaire, et bien sûr toujours

- des entretiens pédagogiques sur Paris et Bordeaux, et

- des bilans de potentiels pour l'orientation.

• pour les adultes :

- des bilans de potentiels pour l'orientation ou la réorientation professionnelle, ou simplement découvrir les sources de sa motivation, et

- des formations comme « Découvrir sa gestion mentale », sur deux jours, au tarif découverte (50 € la journée).

• pour les professionnels et ceux qui veulent le devenir :

- des formations spécifiques pour les orthophonistes (comme en 2015 sur Blois) ;

- la formation de formateurs et praticiens (sur Paris, Lyon et Bordeaux) ;

- les formations pour les enseignants en France et en Italie.

• pour les parents :

- les ateliers sur les maths, le français et « Accompagner les devoirs ».


Bientôt votre site internet sera entièrement rénové !

Au plaisir de vous retrouver en formation, en stage ou lors des nombreuses réunions de l'association.

Pour Alexandrine, Audrey, Claudie, Isabelle, Nathalie, Olivier (les membres du Conseil que vous avez élus en 2014)

Frédéric Rava-Reny

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Published by IFeP
2 décembre 2015 3 02 /12 /décembre /2015 12:48

Lors d'une récente formation de dialogue pédagogique appliqué, « Accompagner les devoirs », un stagiaire m'interroge : « Très bien, vous dîtes que l'élève n'écrit pas au prof en contrôle, mais dans la vraie vie, nous travaillons bien pour le patron, non ?... »

Alors, de la même façon qu'en contrôle on écrit pour soi, pour le prof et pour un semblable, nous travaillons pour nous, pour le patron et pour les clients ou les usagers.

Nous travaillons pour nous car nous serons les bénéficiaires de notre travail comme nous sommes les bénéficiaires de notre note en contrôle.

Nous travaillons pour le patron de la même façons que nous écrivons au prof en contrôle : cela n'est qu'une façon raccourcie de dire les choses. Le professeur est en réalité le correcteur, de même que le patron est l'employeur. Ces deux fonctions, prof ou patron, jaugent de la qualité de notre travail, mais ce n'est pas eux à qui ils s'adressent. Prof ou patron pensent aux intérêts du client ou de l'usager. Le patron se retrouve ainsi dans la même posture que le prof : comment la personne à qui est destinée notre travail (scolaire dans le cas du prof, non-scolaire dans le cas du patron) l'appréciera-t-elle ?

Nous travaillons donc pour des semblables, des personnes comme nous qui souhaitent bénéficier des biens ou des services que nous leur mettons à disposition.
Le professeur jauge notre capacité à partager notre savoir. L'employeur notre capacité à satisfaire le client ou l'usager. Si en tant qu'employé nos clients sont entièrement satisfaits de notre travail, il sera difficile au patron de le décrier.

Alors oui, il y a un cas de figure précis où la qualité de notre travail peut jouer en notre défaveur : c'est lorsque notre travail est trop bon par rapport à celui que fournit nos collègues (exemple : le mien face à mes collègues de gestion mentale... oui, c'est de l'humour... ou pas... tant pis pour ceux qui ont un faible P4 et les pisse-vinaigre). Pour garder une cohésion d'équipe, nous pouvons nous voir reprocher notre travail, pourtant excellent, voire nous faire virer car le contraste est trop important dans l'équipe. Malheureusement, un patron, c'est comme un prof, ce n'est pas forcément un bon communicant...

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23 novembre 2015 1 23 /11 /novembre /2015 11:00

Pour nos lecteurs italiens, voici un lien entre les quatre paramètres (portes, palais, ports...) de la gestion mentale, et les quatre sens de l'écriture repris par Dante.

Lu dans Storia della lingua italiana, de Stefano Lanuzza (Newton, 1994, p.29) :

« Il Convivio teorizza quattro sensi della scrittura :
letterale, fissato alle parole;
allegorico, che nasconde la verità con una "bella menzogna";
morale o pedagogico;
anagogico o sovrasenso cioè metafisico. »

Dans le traité II du Convivio, Dante attribue quatre sens à l'écriture : littéral, allégorique, moral, anagogique.

Dante reprend une tradition plus ancienne.

Les quatre sens de l'écriture ont été repris du judaïsme dans le christianisme par Origène, un des Pères de l'Église, un homme, si vous me permettez l'expression, qui avait assez de courage pour se châtrer ; en effet, après avoir lu Matthieu 19:12 « il y a des eunuques qui se sont faits eux-mêmes eunuques pour le royaume des cieux », il décide d'appliquer à la lettre (P1) ce passage, il se fait eunuque. Par la suite, il comprendra que tous les passages de l'écriture ne doivent pas être pris au pied de la lettre (P1) mais peuvent coder (P2) d'autres enseignements en étant une allégorie. En prolongeant, en utilisant la logique (P3), on aboutit à un sens moral ou pédagogique, et si on prolonge encore, on arrive à une métaphore (P4) par-delà la physique ou la logique, le sens anagogique ou métaphysique.

Ces quatre sens de l'écriture seront repris dans le christianisme par Thomas d'Aquin, dont Antoine de La Garanderie fut un grand lecteurs.

La connaissance des quatre paramètres distingue les vrais connaisseurs de la "gestion mentale" des imposteurs, qui se sont arrêtés à une dichotomie entre "visuels" et "auditifs". Mais ceci est une autre histoire, peut-être pas à prendre au pied de la lettre.

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2 octobre 2015 5 02 /10 /octobre /2015 09:36

La dernière page sur le site, avec des photos ! Oui, c'est nouveau ;-)

Accompagner les devoirs sur Lyon

Pour ceux qui ont raté la formation, d'une part, c'était complet, d'autre part, on en refera d'autres !... Et même à côté de chez vous.

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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 10:00

Que propose la formation Apprivoiser la grammaire ?

1. Tout d'abord de connaître les bases de la grammaire pour accompagner quelqu'un en français, comme des enfants de primaire ou des jeunes de collège ou lycée.

2. Ensuite, de développer sa clarté d'esprit, sa conscience ou sa logique. Pour utiliser des termes plus techniques, de voir comment la langue joue avec la polarité spatio-temporelle, jongle entre le pôle du nom et le pôle du verbe, explore les différentes possibilités pour ne jamais se laisser figer dans une description.

3. Enfin, d'augmenter sa collecte de renseignements sur le fonctionnement de l'autre et le sien. Lorsque deux personnes échangent à l'oral, lors d'un dialogue par exemple, il y a ce qui est dit avec les mots, et ce qui est dit avec le corps, l'intonation, la posture, mais aussi avec la construction grammaticale des phrases.

Ce qui est dit par les mots seuls, c'est le niveau verbal de la communication ou les signaux de forte intensité, que tout le monde peut noter.

Ce qui est dit à travers les détentes, tensions ou contractions musculaires, c'est le niveau non-verbal de la communication ou les signaux de faible intensité, que tout le monde ne voit pas mais que chacun ressent plus ou moins (on sent que l'on est en phase avec son interlocuteur ou non).

Ce qui est dit à travers les choix grammaticaux de la personne, correspond à un niveau intermédiaire entre verbal et non-verbal. Cela reflète la structure de pensée de la personne. Cette prise d'indices est très utile pour les niveaux avancés de pratique de dialogue pédagogique.

On peut donc trouver différents intérêts dans le suivi de cette formation.

À qui s'adresse-t-elle ?

À tous, parents, professionnels de la pédagogie ou de la communication, étudiants. Aucune connaissance de base n'est requise.

Qui l'a créée et pourquoi ?

Cette formation fait partie du travail de recherche de Frédéric Rava-Reny, formateur-chercheur en pédagogie. Elle répond à un besoin simple : comment faire acquérir le plus rapidement possible à quelqu'un les bases qui lui manquent ? Et aussi au besoin pour certains élèves d'apprendre plus vite, donc c'est aussi un programme d'enseignement accéléré, très utile aux enfants qui s'ennuient comme aux enfants précoces, ou tous les curieux d'une façon générale.

Quel coût ?

Pour rendre la formation accessible au plus grand nombre, IFeP la propose à 50 € par personne en 2015. Il y a aussi des tarifs de groupe (contactez nous !).

Où ?

N'importe où ! Cette formation a déjà été donnée à Bordeaux, Lyon, Paris, Marseille... Nous avons des formateurs agréés partout en France, et ils se déplacent ! Il suffit d'en faire la demande ou de se renseigner. Vous pouvez nous contacter au 06 05 29 43 05 pour en savoir davantage.

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25 juillet 2015 6 25 /07 /juillet /2015 10:00

IFeP a organisé trois stages jeunes en 2014, avec une centaine de participants en tout. Des stages où seuls les jeunes progressent ?...

Dans chaque stage, tout le monde continue à apprendre. L'apprentissage fondamental, c'est d'apprendre sans peur. On doit renoncer à de vieux schémas pour accueillir la nouveauté de la vie. C'est parfois difficile, mais c'est toujours salutaire.
En stage comme en dialogue individuel, chaque échange fait renaître en liberté notre dialogue avec la vie.

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29 juin 2015 1 29 /06 /juin /2015 11:00

La cinquième étape du protocole d'orthographe ansérine demande d'épeler le mot à l'envers, histoire de stabiliser l'évocation, de lui donner une qualité dont nous avons besoin.

Mais, pour certains, épeler à l'envers à l'oral est difficile. Aucun souci, grâce à l'échelle de compréhension, nous disposons de nombreux moyens pour surmonter les obstacles.
Puisque le niveau oral nous pose souci, choisissons-en un autre ! Objet, dessin, corps, niveau intermédiaire entre objet et corps...
Prenons par exemple des objets. Un objet représente une lettre. On épèle à l'endroit, on épèle à l'envers. Ça coince ?... Changeons de niveau. Prenons des mannequins articulés pour monter l'échelle. Chaque mannequin va figurer une lettre. Cela va--t-il ? Non, montons au niveau corps en devenant soi-même chacune des lettres. Oui, descendons au niveau objet.

Peut-on de suite remplacer chaque mannequin articulé par un objet ? Oui, très bien. Non, on les laisse et on place devant chaque mannequin un objet. En présence simultané de deux niveaux, on épèle à l'endroit. On épèle à l'envers. Peut-on retirer maintenant les mannequins ? Oui, on descend l'échelle. Non, on se demande quels mannequins on peut retirer. On procède ainsi à une raréfaction de la perception et dans le même temps à une densification de l'évocation. Au fur et à mesure, on retire les mannequins jusqu'à ce qu'il ne reste que les objets.

On procède de même pour passer du niveau objet au niveau dessin, puis du niveau dessin au niveau oral.

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Ces protocoles sont bien sûr utilisés lors du stage jeunes Explorer et Piloter son Inteligence, du 17 au 21 août 2015.

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 10:00

Un article du New York Times du 4 novembre 2014 attire notre attention sur les risques à positiver. Tom Brady, l'auteur de l'article Not enough work, too much positive thinking, signale que sans stress, nous pouvons mourir d'ennui. Au sens propre ! Travailler peu serait aussi néfaste à la santé que travailler trop selon de récentes études. Le professeur de psychologie Paul E. Spector, de l'Université South Florida affirme que travailler peu peut provoquer des tensions musculaires, des maux de tête et à l'estomac... comme trop de travail quoi !
De même, dans une étude publiée en 2014, dirigée par le James Danckert, professeur de neurosciences au Canada, dans le journal Experimental Brain Research, faire regarder un film ennuyeux (des hommes étendant du linge) est plus stressant que de suivre un film triste. Terrible pour nos élèves quand on pense à certains de leurs cours... Comme disait Voltaire, tous les genres sont bons hors le genre ennuyeux...

Quant aux rêveurs, Gabriele Oettingen, professeur de psychologie à l'université de Hambourg, ils dépensent leur énergie inutilement car ils pensent déjà avoir obtenu leur résultat et manquent ainsi de punch pour atteindre leur objectif.

Cela confirme ce que nous préconisons dans la pratique du majeur : penser que l'on peut y arriver, oui, c'est une fin, mais pour réaliser notre but, nous devons aussi évoquer les moyens, et la situation dans laquelle nous sommes présentement, afin de planifier les étapes, sans relâcher nos efforts prématurément.

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